Récemment, la secrétaire au Trésor américain, Janet Yellen, a fait des déclarations importantes concernant le choix du nouveau président de La Réserve fédérale (FED). Elle a souligné que le prochain président de La Réserve fédérale (FED) devra avoir une large crédibilité, et que les défis de ce poste ne doivent pas être sous-estimés. Le nouveau président devra non seulement maîtriser l'analyse complexe des données économiques, mais aussi être capable de coordonner les 12 membres ayant droit de vote, en s'efforçant d'atteindre un consensus sur les politiques.
Beccent a particulièrement souligné l'importance de l'indépendance de la politique de La Réserve fédérale (FED). Elle a noté que si le gouvernement intervenait fréquemment dans la politique monétaire, comme en demandant arbitrairement des baisses de taux d'intérêt ou en élargissant l'offre monétaire, cela entraînerait un désordre économique. Surtout dans le contexte actuel de forte pression inflationniste, il est encore plus nécessaire que La Réserve fédérale (FED) reste indépendante pour stabiliser l'économie. Cependant, au cours des dernières années, le champ d'action de La Réserve fédérale (FED) s'est constamment élargi, ce qui a en partie affecté le principe de sa prise de décision indépendante. Par conséquent, le nouveau président devra réexaminer les fonctions essentielles de La Réserve fédérale (FED) après sa prise de fonction.
Concernant la demande répétée de Trump pour que La Réserve fédérale (FED) baisse les taux d'intérêt, Bessette a clairement indiqué que l'opinion du président ne devrait pas être un facteur décisif, et que le pouvoir décisionnel final devrait être entre les mains de La Réserve fédérale (FED). Elle estime que si l'on suit aveuglément les directives du gouvernement et que l'on ajuste fréquemment la politique de taux d'intérêt, cela aura un impact grave sur les intérêts économiques du grand public.
Dans l'ensemble, le discours de Bessenet a principalement transmis trois messages clés : tout d'abord, le nouveau président doit posséder des compétences professionnelles solides et des capacités de leadership ; ensuite, La Réserve fédérale (FED) doit maintenir son indépendance politique ; enfin, La Réserve fédérale (FED) devrait se concentrer sur ses fonctions principales et éviter d'élargir ses pouvoirs de manière excessive. Dans le contexte économique complexe et de la pression inflationniste élevée actuelle, La Réserve fédérale (FED) a effectivement besoin d'un leader exceptionnel. Cependant, le travail du nouveau président n'est pas facile, car il doit rechercher un équilibre entre la pression politique et la stabilité économique, ce qui est sans aucun doute un poste extrêmement difficile.
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ChainPoet
· Il y a 16h
C'est encore le lieu de transfert politique.
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MetaverseLandlord
· Il y a 16h
Que peut faire la petite fille, la fleur de lotus vient et s'en va.
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RegenRestorer
· Il y a 16h
C'est trop difficile ! Qui peut faire ce travail ?
Récemment, la secrétaire au Trésor américain, Janet Yellen, a fait des déclarations importantes concernant le choix du nouveau président de La Réserve fédérale (FED). Elle a souligné que le prochain président de La Réserve fédérale (FED) devra avoir une large crédibilité, et que les défis de ce poste ne doivent pas être sous-estimés. Le nouveau président devra non seulement maîtriser l'analyse complexe des données économiques, mais aussi être capable de coordonner les 12 membres ayant droit de vote, en s'efforçant d'atteindre un consensus sur les politiques.
Beccent a particulièrement souligné l'importance de l'indépendance de la politique de La Réserve fédérale (FED). Elle a noté que si le gouvernement intervenait fréquemment dans la politique monétaire, comme en demandant arbitrairement des baisses de taux d'intérêt ou en élargissant l'offre monétaire, cela entraînerait un désordre économique. Surtout dans le contexte actuel de forte pression inflationniste, il est encore plus nécessaire que La Réserve fédérale (FED) reste indépendante pour stabiliser l'économie. Cependant, au cours des dernières années, le champ d'action de La Réserve fédérale (FED) s'est constamment élargi, ce qui a en partie affecté le principe de sa prise de décision indépendante. Par conséquent, le nouveau président devra réexaminer les fonctions essentielles de La Réserve fédérale (FED) après sa prise de fonction.
Concernant la demande répétée de Trump pour que La Réserve fédérale (FED) baisse les taux d'intérêt, Bessette a clairement indiqué que l'opinion du président ne devrait pas être un facteur décisif, et que le pouvoir décisionnel final devrait être entre les mains de La Réserve fédérale (FED). Elle estime que si l'on suit aveuglément les directives du gouvernement et que l'on ajuste fréquemment la politique de taux d'intérêt, cela aura un impact grave sur les intérêts économiques du grand public.
Dans l'ensemble, le discours de Bessenet a principalement transmis trois messages clés : tout d'abord, le nouveau président doit posséder des compétences professionnelles solides et des capacités de leadership ; ensuite, La Réserve fédérale (FED) doit maintenir son indépendance politique ; enfin, La Réserve fédérale (FED) devrait se concentrer sur ses fonctions principales et éviter d'élargir ses pouvoirs de manière excessive. Dans le contexte économique complexe et de la pression inflationniste élevée actuelle, La Réserve fédérale (FED) a effectivement besoin d'un leader exceptionnel. Cependant, le travail du nouveau président n'est pas facile, car il doit rechercher un équilibre entre la pression politique et la stabilité économique, ce qui est sans aucun doute un poste extrêmement difficile.